Les jours traînent en longueur
En effeuillant les heures
Les rêves s'étirent à l'infini
Lentement ils prennent vie
Toi tu es là en spectateur
Tu les regarde vivre
Et tu pleures
Tes peurs renaissent
Vivaces et cruelles
Cachées sous les sourires
Guettant l'instant propice
Ne pas céder à leurs appels
Ne pas fuir non plus
Entre fantasmes et réalité
Choisir la voie de la dignité
Celle qui prendra un peu de tout
Pour un cocktail explosif
Tout en retenue et douceur
Où surnage l’impensable vérité
Dissimulée...
Ecrit à Beaucaire
Le 19 septembre 2017
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